DREAME A1 Pro Robot Tondeuse sans Fil Périphérique, 3D-LiDAR OmniSense, Recommandé 2000 m²

Retour d’expérience après 2 mois d’utilisation quotidienne:Excellent produit! C’est mon premier robot tondeuse, j’ai attendu au moins 1 an avant de me lancer (gros investissement), comaprer, regarder des vidéos, lire des commentaires…au final mon choix s’est porté sur le Dreame A2. J’ai hésité avec le Dreame A1 pro qui aurait suffit dans mon cas mais je me suis lancé avec l’A2 pour profiter d’une technologie plus récente et donc le garder plus longtemps à jour.Ca me change la vie! Non seulement plus besoin de tondre (ayant des enfants en bas âge, je ne trouvais pas facilement 1h le week-end sans pluie pour le faire et je laissais l’herbe grandit et devais donc passer 1h30 pour défricher les herbes hautes toutes les 2/3 semaines……..quand le temps le permettait!). bref, désormais j’ai un gazon parfait tous les jours, un vrai terrain de golf! Et avec un gazon entretenu j’ai aussi moins peur des tiques pour les enfants (il y en a beaucoup dans le jardin, cf le chien qui en attrape moins également!).Pas besoin de ramasser l’herbe, j’avais peur que le robot laisse des déchets de tonte et que mon chien en ramène plein la maison, mais pas du tout, c’est invisible.L’entretien est facile: 1 fois par mois je passe un coup de jet d’eau, surtout pour dérasser les roues pleines de terre (ce qui induit plus de patinage). J’ai changé les lames 1 fois en 2 mois, très facile et il est livré avec un gros stock. Il semblerait que nous puissions retourner les lames 1 fois sur 2 au lieu de les changer à chaque fois, je vais essayer la prochaine fois.Parlons du patinage des roues: je regrette que Dreame n’ait pas mis des roues plus adaptées aux terrains en pente. Le robot patine sur terrrain humide en pente et laisse des marques au sol. Les roues s’encrassent de terre et patinent encore plus, etc etc. L’A2 à son prix aurait mérité les mêmes roues que l’A1 Pro je pense…Je dois avouer que de temps en temps, ayant un terrain en pente, mon robot fait des erreurs: il lui arrive 1 fois par semaine de se retrouver coincé dans la haie (cf photo), hors des limites de zone…une fois sans raison, le robot a terminé dans mon potager (si ça avait été une piscine, catastrophe!) -> donc effectivement il y a eu quelques ratés, frustrants sur le moment, on s’énerve, mais au final on en fait abstraction tellement c’est bien 99% du temps. Donc j’espère que les équipes Dreame continueront de faire des mises à jour dans ce sens: en aucun cas le robot ne doit sortir d’une zone définie, en cas de « bug » une sécurité devrait s’enclencher pour le stopper net et passer en mode arrêt urgence.J’ai à un endroit une grosse pente de 20m2 (dur à dire en %, peut-être 40%?) et le robot s’en sort pas trop mal (à part le patinage si trop humide).Après je pense aussi que c’est comme tout: avec l’expérience on apprend à dompter la bête avec ses qualités et ses défauts. Il y a des zones que je vais redéfinir: j’ai été trop gourmand en voulant passer au plus prêt de la haie en pente, peut-être qu’augmenter l’espace au bord de 10/15 centimètres pourrait m’éviter ce genre de problèmes (robot qui se coince dans la haie)…et un coup de coupe bordure 1 fois par mois est nécessaire dans tous les cas donc ça ne change pas grand chose…Je recommande de coller des bandes en caoutchouc sur les bords pour protéger le robot des rayures + installer un abris pour protéger la base de charge et le robot + une bande de 2mx1m de gazon synthétique sur la base du robot (cf photo).

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Le produit multimédia n’a pas pu être chargé.

L’espace de jeu de ce robot est un terrain de 14 ares, incluant 3 zones de tonte distinctes.La cartographie du terrain est un jeu d’enfant :- définition des zones, avec leur sens de tonte :-)- définition d’un « chemin » entre zonesPourquoi ce modèle ?- la technologie lidar, se dispensant de l’usage d’une (ou plusieurs ?) antennes RTK- le logiciel proche de la perfection. Tout est prévu, contrairement à d’autres marques auxquelles j’ai fait confiance pour d’autres usages (robot aspirateur laveur)- la simplicité et l’efficacité de l’utilisation- le prix- LE SILENCE (avec en plus un mode nuit encore plus silencieux). Aucune comparaison avec le voisinage qui passe des heures à tondre puis à « ramasser » la tonte avec un souffleur thermique assourdissant.Les (rares) inconvénients :- à certains endroits, ma pelouse a des « creux », que la tondeuse considère comme des obstacles (et ne tond pas)- la limite d’adhérence sur des petites pentes

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Retour après 3 mois d’utilisation sur un terrain de 2500 M2. Je suis assez a l’aise avec les produits technologiques.Le robot a de grosse capacités de positionnement c’est assez bluffant.Mais à l’usage::- le robot ce perd régulièrement, ce qui fait que le robot va même dans les zones interdites…( dégât sur les fleurs et rayure sur lui même)- Perte de la roue directrice avant gauche au bout de 2 mois causé par un sous dimensionnent du système de verrouillage sur son axe de rotation- 3 semaines après perte de la roue avant droite- J ai du faire une petite dalle de béton devant la station car au bout de 3 mois il m a complètement labouré la terre devant la station ce qui l’empêchait de ce charger!Moteur/ traction rien a signaler. Tonte parfaite!Je suis un adepte de produit techno et assez patient de nature, mais la vraiment je pense que je vais arrêter avec ce robot et demander son retour. Dommage c’est un produit assez abouti mais qui manque encore de fiabilité au vu de son prix ( 2500 EUROS)

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Pour l’instant la meilleure affaire de l année:• très simple d’installation• une tonte parfaite• adaptée a mon terrain de 750 M2• par rapport à d’autres marques concurrentes , il est moins chère pour un meilleur résultat.• très sécurisant ( j’ai des chiens et n’hésite pas à les laisser seul avec ) le capteur marche très bien.• les plastiques et les roues sont de bonne qualité.• il tond très proche des bordures une fois bien calibré.• les lames sont extrêmement simple a changer..Bref vous l’aurez compris j’en suis content, mon terrain est un peux cabossé et il ‘e se bloque pas je le recommande les yeux fermés !

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== Mise à jour du 25/08/2025 ==J’ai augmenté le score (de 3 à 4 étoiles) pour deux raisons : tout d’abord, avec la dernière màj logicielle, mon roboto se comporte bien mieux et est vraiment autonome désormais. Les nouvelles fonctions sont bienvenues également…Ensuite parce que j’ai pu tester le SAV et j’ai été rassuré : le support répond vite et bien, un très bon point.== Je laisse mon premier commentaire ci-dessous car cela permet de mesurer la progression :Seulement trois étoiles car ce n’est pas aussi bien que ce qu’en disent les autres témoignages ou les tests que vous pouvez trouver sur le Web…===Alors, sur le papier, l’engin en question porte bien son nom : c’est un « rêve » à mettre en place et à utiliser… Les nombreux témoignages sur Amazon en atteste, les articles et vidéos de test sur les blogs spécialisés aussi. Alors, c’est vraiment le rêve promis et annoncé ?Réponse courte : non. Réponse un peu plus longue : si vous vous attendez à un robot totalement autonome qui n’appelle jamais à l’aide et fait toute votre pelouse en deux-temps, trois mouvements et sans bavure, vous pouvez repasser.Ceci dit, pour être juste, ce n’est certainement pas une cata, au contraire. Si vos attentes sont mesurées et raisonnables, alors le Dream A1 fait le job, j’irais même jusqu’à dire qu’il le fait assez bien avec parfois, quelques aléas souvent compréhensibles (mais pas toujours…).Car le noeud de l’histoire est là : si vous croyez au discours marketing qui vous promettent la lune, alors vous allez être déçu, forcément. Mais si, au contraire, vous êtes conscient qu’il y a (toujours !) une différence entre théorie et réalité, alors vous êtes bien armé pour savoir si c’est pour vous ou pas et ce qu’on peut en attendre…Rétrospectivement, je suis satisfait de mon achat pour une simple raison : le robot fait 80% du boulot sans que j’ai à m’en occuper et, rien que cela, c’est un gain de confort tout à fait remarquable… Au lieu d’y passer des heures, j’ai juste à m’occuper des finitions de temps en temps, c’est un vrai progrès !Mais, bien sûr, si j’avais visé 100%, alors là, oui, j’aurais de quoi être déçu.En fait, il faut accepter que le robot ne va pas faire les bords (ou pas bien) et certaines parties les plus ardues de votre terrain lui seront finalement inaccessible (ou trop difficile à traiter). Ainsi, je reprend ma tondeuse thermique pour faire ces finitions mais j’y passe juste 20 mn au lieu de plusieurs heures, une différence appréciable !Revenons au début, au moment où j’ai reçu le volumineux carton contenant le Dream A1 (très bien emballé d’ailleurs). Le carton contient un manuel bien épais, RTFM (read the fucking manuel!), une fois de plus mais on peut aussi se contenter d’une grande feuille illustrée qui résume les principales étapes de l’installation et de la mise en route.Tel que c’est décrit, c’est très simple : en gros, il faut installer la base du robot (là où il va venir se recharger) et, ensuite, définir les contours du terrain à tondre. Pour ma part, il fallait que je fasse une première fois les deux opérations pour me rendre compte qu’il fallait tout refaire depuis le début : l’emplacement de la base est critique en termes de réception réseau (A1 est super sensible sur ce plan), j’ai été trop optimiste et il a fallu que je pose la base pile où se trouvait la meilleure réception extérieure.Idem pour le tracé du terrain : initialement, je me suis contenté d’une zone test pour découvrir la démarche « en marchant » et je peux vous confirmer que, oui, il faut marcher derrière son robot tout en le guidant pour « dessiner » les contours de la zone en question.Dans le manuel, on vous présente la chose comme un jeu d’enfant. je peux vous dire que ce n’est certainement pas le cas et qu’il est plutôt difficile de guide le robot en se servant de l’application installée sur son téléphone comme d’un « joystick » digital qui est plutôt approximatif et régit parfois avec retard. Donc, si vous voulez faire de la précision, il faut tout faire au ralentit et ça prend un temps fou (et pour finir, la précision laisse quand même à désirer). Là, sur ce point précis, on commence déjà à comprendre que ça ne sera pas aussi facile et rapide que ce qu’on vous avait promis…Au final, pour avoir une zone complète et correspondant à ce que je voulais, j’ai dû m’y reprendre une demi-douzaine de fois, au bas mot. Bien sûr, on n’est pas obligé de tout refaire à chaque fois, on peut agrandir et améliorer la zone initiale et procéder ainsi par incréments successifs. Et, bien sûr, je suis tombé dans tous les pièges possibles de la démarche de type « je veux que le robot aille partout où il y a le moindre brin d’herbe »… Erreur typique du newbie qui croit que c’est magique et que ça va marcher du premier coup…Au final, je peux le dire, j’ai eu deux phases : une première où j’ai cherché à définir la zone la plus complète possible et une seconde où j’ai progressivement réduit cette zone pour prendre en compte les différents pièges détectés sur le terrain. C’est ainsi que je suis passé d’une zone de presque 900 m2 à presque 800 m2 tout rond. Ben oui, avec l’expérience, on comprend qu’il ne faut pas envoyer le robot frôler des trous ou s’aventurer sur des couloirs trop étroits (entre autres car il y a plein de ce genre de « détails » qu’on apprend par la pratique). Au début, je me disais « bon, pas grave, il va apprendre à éviter ces pièges, il ne va pas se faire prendre deux fois, hein ! »… Et puis non, il prétend qu’il apprend (« mise à jour des obstacles » proclame-t-il tout fier à la fin d’une tonte) mais je constate que deux fois de suite, c’est une fois de trop… Hop, on réduit la zone, on met des passages interdits et ainsi de suite.Attention, je ne suis pas en train d’écrire que le robot se plante à chaque fois qu’il quitte sa base !Non, les plantages (oups, je suis dans un trou… viens me chercher, au secours, ma batterie est en train de se vider, vite !) sont assez rares finalement mais ils arrivent de temps en temps et c’est pour cela qu’il faut le « surveiller » à chaque fois qu’il est en opération. Oh, il n’est pas dangereux et évite systématiquement les obstacles, fixes ou mobiles. Mes chats le surveille du coin de l’oeil quand il traverse leur jardin mais les risques de collisions accidentelles sont nuls et c’est déjà cela.Là où c’est assez frustrant, c’est quand A1 se plante par lui-même. Je m’explique et j’ai un exemple pour l’illustrer : lors d’un retour vers sa base, A1 a buté sur le bord d’une chemin en dur (faut que sa « garde au sol est assez basse, surtout sur l’avant) et, en insistant (il essaye toujours des situations de blocages par lui-même avant d’appeler à l’aide), ses roues motrices ont creusé la terre provoquant ainsi l’enlisement total, la marche arrière n’était alors plus une option… On peut voir sur la photo jointe les marques des roues dans le sol…Le plus décevant dans les errements (rares, j’insiste) d’A1, c’est quand il échoue lors de sa phase de « docking » (retour à sa base) : sans que j’en comprenne les raisons, ça arrive quelquefois et il faut alors l’aider à trouver le chemin (juste devant lui) des rails qui l’attendent. Bon sang, c’est le truc le plus simple et tu y étais presque, pourquoi donc tu échoues ?L’autre truc pénible, c’est la connexion entre le robot et l’application du téléphone qui se fait avec Bluetooth… Or, c’est notoirement peu fiable et il faut souvent s’y reprendre à plusieurs fois (sans compter que la dite connexion se brise ensuite facile…). Bref, on le voit, le tout est encore perfectible.

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